Minage et traitement de données qualifiées

Comment récolter davantage de mails sur son site web ?

Comme beaucoup d’entreprises sur le web, vous récoltez les mails de vos clients à des fins marketing ?

  • Vous avez bien raison.

Car contrairement à ce que l’on peut parfois penser, les stratégies de marketing automation sont redoutablement efficaces pour pousser doucement votre audience à la conversion… 🔥

Bon, forcément, il faut que ce soit bien fait, et le marketing automation ne se résume d’ailleurs pas à du simple mailing.

Mais nous y reviendrons plus tard ! Car nous allons commencer par le nœud du problème :

  • Comment récolter davantage de mails sur son site web ?

C’est certain que, sans mails, ça va être compliqué d’obtenir des résultats.

Paré pour obtenir quelques-unes de nos astuces ? Vous allez voir, elles ne vont pas vous laisser indifférent 👇

Placer son formulaire à des endroits visibles

Oui, on sait, ça parait bête comme conseil.

Pourtant… On peut vous dire qu’on en a vu passer, des sites web avec des encarts de mails complètement planqués. Clients ou pas, d’ailleurs.

Le réflexe le plus commun, c’est d’insérer un seul formulaire d’inscription, tout en bas de son site, dans le footer. Mais savez-vous combien de visiteurs scrollent jusqu’en bas de votre site ?

  • Très, très peu.

Ça fait un moment qu’on fait de l’A/B testing pour nos clients, et que l’on surveille les principaux points d’intérêts sur leurs pages avec des heatmaps ou des sessions recordings. Eh bien, on peut vous certifier à 100% que quel que soit le site ou le secteur d’activités, le pourcentage de visiteurs qui arrivent jusqu’en bas d’une page est minime.

On a de meilleurs résultats avec des pages bien structurées et copywritées ; mais quoi qu’il arrive, la majorité de l’audience clique sur les call to action au-dessus de la ligne de flottaison, file directement dans les pages catégories, ou s’aide de la barre de recherche.

Bref, comment fait-on alors pour récolter davantage de mails ?

  • C’est simple : on place son formulaire à des endroits stratégiques.

C’est-à-dire susceptibles d’être vus (et donc de générer de la conversion), par exemple à proximité de la ligne de flottaison ou à l’aide d’un CTA qui va rebasculer les visiteurs directement sur le formulaire.

Se poser les bonnes questions avant d’essayer tout un tas d’autres correctifs avec son formulaire de mailing

Pardon pour ce précédent (long) laïus, mais la question du placement du formulaire règle en général 90% des problèmes de nos clients (avec un boost soudain de leur taux de conversion, comme c’est curieux).

Si le taux de conversion est toujours enlisé dans le sable, il faut passer à d’autres solutions – notez d’ailleurs que ce n’est pas forcément lié au mailing : problème d’offre, de positionnement, cible qui ne comprend pas ce que vous faites, design trop daté…

  • Eh oui : si vos visiteurs ne laissent pas leur mail, c’est peut-être que vous ne leur inspirez pas suffisamment confiance.

Ou que vous n’êtes pas assez « crédible » à leurs yeux – bref, qu’il y a éventuellement un petit travail à effectuer quant à votre communication ou votre marketing afin d’être parfaitement aligné sur les désidératas de vos cibles.

Et pour ça, pas de miracle : il va falloir fouiller un peu dans des données, observer le comportement de vos visiteurs, voire leur poser des questions directement afin d’affiner votre compréhension du problème initial.

Se rendre utile (ou désirable) auprès du consommateur

Si ça peine toujours à décoller, alors c’est que le problème vient en effet, et probablement, du formulaire de mailing. Que faire si la plupart des visiteurs s’acharnent à ne pas laisser leurs coordonnées ?

La prochaine étape consiste à glisser des éléments de réassurance, ou des éléments commerciaux. Par exemple :

  • On peut rassurer le visiteur pour lui dire que ses coordonnées ne seront jamais utilisées à des fins malhonnêtes – il suffit de quelques mots à côté de votre formulaire ;
  • On peut se rendre désirable en lui indiquant qu’il va obtenir des ressources utiles en s’inscrivant (livre blanc, tutoriaux, infographies…) ;
  • On peut faire un geste commercial via une remise par exemple : 10€ offerts pour toute inscription à la newsletter, ou promettre un devis gratuit.

En dernier recours, les pop-up, c’est toujours efficace…

… Mais avec parcimonie. Vraiment.

Quand on sent que notre client a besoin d’un bon coup de boost, on passe aux choses sérieuses avec de la pop-up. Et là, généralement, on nous sort l’argument massue :

  • « Ah mais attendez, les pop-up, personne n’aime ça, c’est considéré comme du spam ! »

Alors oui, mais non : tout dépend de comment c’est fait, et de l’utilité de la chose.

Par exemple, on évite d’agresser le visiteur dès son arrivée sur la page : rien de plus terrible, effectivement, que de se fracasser contre une pop-up à peine la page d’accueil chargée et affichée dans le navigateur.

De nombreux outils existent aujourd’hui pour paramétrer des conditions d’affichage, pourquoi ne pas s’en aider ? Par exemple, une pop-up peut s’afficher après un certain temps passé sur le site, sur certaines pages en particulier, à partir d’un certain pourcentage de scroll…

A priori, si le visiteur reste et parcourt vos pages, c’est qu’il est potentiellement intéressé par vos services. Dans ce cas, une pop-up avec une bonne accroche et des éléments de réassurance (ou une promesse commerciale) peuvent provoquer la bascule vers la conversion.

Et si vraiment vous ramez toujours à obtenir des mails, pensez à nous ! 😉

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